Ville
sanatorium
à
l'origine, Arcachon n'oublia pas pour autant sa vocation de station
balnéaire. Aussi la ville se dota-t-elle d'une belle
infrastructure hôtelière pour accueillir touristes
et
estivants. Certains de ces hôtels existent encore ,
mais la plupart n'ont pas résisté à
l'urbanisation. Certaines villas furent des pensions de famille avant
d'être transformées en
copropriétés
d'appartements.
Le
Grand-Hôtel
Les
grands travaux de la Ville ont eu lieu à partir de 1865,
Arcachon ayant eu le statut de Commune séparée de
La
Teste en 1857.
Alphonse Terpereau, célèbre
photographe
arcachonnais et bordelais du 19ème siècle.
a sillonné la
Ville en chantier.
Il nous livre ce témoignage exceptionnel : le
chantier du Grand
Hôtel : (c'est une
véritable
photographie).
Le
Grand Hôtel : Sans
doute le fleuron de l'hôtellerie arcachonnaise d'antan.
Il
brûla au début du siècle dernier et fut
reconstruit pas complètement à l'identique.
Aujourd'hui,
c'est la résidence Carnot.
La
Ville d'Été
L'Hôtel
Richelieu, l'Hôtel
Victoria, l'Hôtel
de France : Ce sont les
hôtels du front de mer, situés
à gauche de la Place Thiers quand on regarde depuis la
plage.
L'Hôtel de France a été
détruit et
l'Hôtel Victoria est une résidence
privée.
L'hôtel-Restaurant Les Bains
du boulevard de la
Plage n'a pas su résister aux promoteurs malgré
son joli
style Art-Déco.
L'incontournable Café
de
La Plage
se trouve en
front de
mer, proche de la jetée
d'Eyrac et face à 27 avril 2010l'Aquarium. Sur cette photo qui date des
années 30 on aperçoit l'ancien
théâtre, qui
n'existe plus et qui
jouxtait le Casino de La Plage.
On
ne peut
évoquer Arcachon sans mentionner Le Café
Répetto
situé Place Thiers à l'angle de l'Avenue Gambetta
et du
Boulevard de La Plage.
L'Hôtel-Restaurant
de la Côte
d'Argent
:
C'est une agence bancaire qui occupe désormais cet immeuble
situé à gauche du "Centre 2000" (qui a
remplacé
les anciennes halles) près de la Mairie. Le bar
Noël
situé actuellement à droite de la BNP pourrait
tirer son
nom de celui du propriétaire de l'hôtel,
Noël Sahunet.
L'Hôtel
de l'Europe
est
devenu un
immeuble d'habitation avec des bureaux en rez-de-chaussée.
L'Hôtel-Restaurant
de l'Étoile
d'Or est situé
à l'angle du Boulevard de la Plage et
de l'Avenue du Château (aujourd'hui Avenue Charles de Gaulle)
;
actuellement ce sont les Hôtels
Roc et Moderne
qui
occupent
cet
emplacement.
L'Ombrière, restaurant de l'hôtel
de Gascogne
était une table réputée. Le
bâtiment a
été reconverti en résidence
(destruction
partielle).
Toute l'histoire de
l'Hôtel
Jampy
: Situé
à l'époque au 268
boulevard de la Plage, l'immeuble
existe toujours (au N° 280) mais aurait besoin d'une
restauration.
Ongi
Ethorri est un
hôtel-restaurant situé au 43 Cours
Héricart de
Thury, où l'on trouve aujourd'hui le restaurant marocain Al
Mounia.
L'Hôtel-Restaurant
du Printemps
est au 9 Avenue du Château, non loin de l'Étoile
d'Or.
L'hôtel-restaurant Vignes
du Cours Tartas n'a
pas résisté aux promoteurs.
La Ville d'Hiver
Beau-Soleil
était une pension de famille de l'Allée des Dunes
connue
également sous le nom "Les Erables".
L'Hôtel
Continental
et des Pins : une
maison de retraite des employés
de la Banque de France (il y a pire ...)
La Pension de famille Les
Roseaux
était
située non loin de l'Église Notre-Dame.
L'Hôtel
Moderne
: Situé
Allée Lakmé en Ville d'Hiver,
l'Hôtel Moderne deviendra la Clinique "Les Elfes",
établissement de cure et de repos. Aujourd'hui, c'est un
établissement
médicalisé appelé "La
Rose des Sables".
La Pension Peyronnet
? C'etait
à quelques mètres de la Place des Palmiers.
L'Hôtel
Régina
et d'Angleterre : L'un
des établissements prestigieux de la Ville
d'Hiver.
On s'y livrait parfois à quelques excentricités
(regardez, vous jugerez).
L'Hôtel
Tivoli
et de Paris : Aujourd'hui
une résidence dans l'avenue
Gambetta (au N° 47).
La
Ville
d'Automne
Villa
Asphodèle
: Boulevard
Deganne : hier Pension de
famille, aujourd'hui
services
médico-sociaux.
Villa
Beau-Séjour
: rue
Durègne, une sympathique pension de famille à
prix
modérés.
Villa
Beau-Site
:
Boulevard Deganne, une pension de famille à prix
modérés.
L'Hôtel
d'Eyrac
: L'un des
hôtels du bord de mer, dont l'entrée
était
monumentale et qui n'existe plus de
nos jours.
Villa
Grand
Saint-Elme : rue
Durègne, voisine et concurrente de Beau-Séjour.
La
Ville
de Printemps
L'Hôtel d'Aquitaine,
maison de famille
réputée se trouvait au 141 Cours Lamarque.
L'hôtel-restaurant
Etchea
jouissait d'une
situation exceptionnelle : proche de la plage, du centre-ville et de la
Ville d'Hiver.
Sur
la Route du
Moulleau non loin de la Basilique Notre-Dame , la
Maison
Bon-Repos
accueillait
les
touristes.
Entre
la
Jetée de la Chapelle et la Basilique Notre-Dame se trouve
l'Hôtel-Restaurant Saint-Christaud
dont la cuisine bourgeoise était renommée.
Hôtel
les Mouettes
:
à proximité de la Jetée de La Chapelle.
Sous
les Chênes : une
petite pension de famille de l'avenue Sainte-Marie.
Abatilles-Le
Moulleau -Pyla sur mer
Nombreux
sont ceux qui se s64v5ennent de l'hôtel
des Écureuils
,
avenue du Parc et de son bar le Bidaou.
Sur
l'avenue du Golf, c'est la résidence Beau-Séjour
de la Banque de France que nous
découvrons.
Non
loin de
l'église Notre-Dame des Passes se trouvait la charmante
pension
de famille Notre-Dame.
Il
n'y a pas si longtemps, on trouvait
encore l'Hôtel
Les
Papillons
en arrivant
par le boulevard de la Côte d'Argent.
La
Villa Rose
Mousse,
détruite, qui fut un hôtel, se trouvait avenue des
Abatilles.
Quand
on s'installait
au Bar
du Soleil,
on profitait de la
vue sur le Bassin, tout en admirant le vieux Canon.
L'hôtel-restaurant les
Tamarins
était un
rendez-vous animé de la station dès que revenait
l'été.
Voile
au Vent était
un hôtel-restaurant du boulevard de la Côte
d'Argent, au
coeur du Moulleau.
Incontournable
: le
Grand Hôtel du Moulleau à travers le temps
: Une histoire racontée de 1900 à 1950.
La résidence Royal-Moulleau occupe sa
place aujourd'hui ; la structure générale du
bâtiment est préservée,
mais l'architecture a bien
changé.