Ville
sanatorium
à
l'origine, Arcachon n'oublia pas pour autant sa vocation de station
balnéaire. Aussi la ville se dota-t-elle d'une belle
infrastructure hôtelière pour accueillir touristes
et
estivants. Certains de ces hôtels existent encore ,
mais la plupart n'ont pas résisté à
l'urbanisation. Certaines villas furent des pensions de famille avant
d'être transformées en
copropriétés
d'appartements.
Le
Grand-Hôtel 
Les
grands travaux de la Ville ont eu lieu à partir de 1865,
Arcachon ayant eu le statut de Commune séparée de
La
Teste en 1857.
Alphonse Terpereau, célèbre
photographe
arcachonnais et bordelais du 19ème siècle.
a sillonné la
Ville en chantier.
Il nous livre ce témoignage exceptionnel : le
chantier du Grand
Hôtel : (c'est une
véritable
photographie).
Le
Grand Hôtel : Sans
doute le fleuron de l'hôtellerie arcachonnaise d'antan.
Il
brûla au début du siècle dernier (1906) et ne fut
pas reconstruit à l'identique.
Aujourd'hui,
c'est la résidence Carnot.
La
Ville d'Été 
L'Hôtel
Richelieu, en front de mer sur le boulevard promenade Veyrier-Montagnères.
l'Hôtel
Victoria, en front de mer sur le
boulevard Veyrier-Montagnères, est désormais une résidence privée dont
l'entrée principale est sur le boulevard de la Plage.
l'Hôtel
de France a été détruit à la fin des années 70. Le "Point France" a été construit sur son emplacement.
L'hôtel-Restaurant Les Bains
du boulevard de la
Plage n'a pas su résister aux promoteurs malgré
son joli
style Art-Déco.
L'incontournable Café
de
La Plage
se trouve en
front de
mer, proche de la jetée
d'Eyrac et face à l'Aquarium.
Sur la photo qui date des
années 30 on aperçoit l'ancien
théâtre, qui
n'existe plus et qui
jouxtait le Casino de La Plage.
On
ne peut
évoquer Arcachon sans mentionner Le Café
Repetto
situé Place Thiers à l'angle de l'Avenue Gambetta
et du
Boulevard de La Plage.
L'Hôtel-Restaurant
de la Côte
d'Argent
:
C'est une agence bancaire qui occupe désormais cet immeuble, près de la Mairie.
L'Hôtel
de l'Europe
est
devenu un
immeuble d'habitation avec des bureaux en rez-de-chaussée.
L'hôtel Terminus appelé également Café de la Gare accueillait les voyageurs dès la sortie du train.
L'Hôtel-Restaurant
de l'Étoile
d'Or est situé
à l'angle du Boulevard de la Plage et
de l'Avenue du Château (aujourd'hui Avenue Charles de Gaulle)
;
aujourd'hui ce sont les Hôtels
Roc et Moderne
qui
occupent
cet
emplacement.
L'hôtel de La Paix n'était plus un restaurant renommé comme autrefois. A l'abandon, il s'est transformé en une résidence "Le Carré Vivaldi".
L'Ombrière, restaurant de l'hôtel
de Gascogne
était une table réputée. Le
bâtiment, comme beaucoup d'autres, a
été reconverti en résidence.
Toute l'histoire de
l'Hôtel
Jampy
: Situé
à l'époque au 268
boulevard de la Plage, l'immeuble
existe toujours (au N° 280).
L'hôtel Maison Blanche en plein centre-ville, rue Jehenne, s'est transformé en la bien connue Pizzeria Jehenne.
Ongi
Ethorri est un
hôtel-restaurant situé au 43 Cours
Héricart de
Thury, où l'on trouve aujourd'hui le restaurant marocain Al
Mounia.
L'hôtel-Restaurant
du Printemps était au 9 avenue du Château, non loin de l'Étoile
d'Or. Détruit.
l'Hôtel Central et des Voyageurs vers
le N°24 avenue du Château, idéalement idéalement près de la gare, du
Grand Théâtre a été détruit et remplacé par des immeubles modernes dont
un hôtel (Le Novel).
L'hôtel-restaurant Vignes
du Cours Tartas : le bâtiment est toujours en place, mais pour combien de temps?
Le Café de l'Avenue,
situé à la limite de la ville d'Été et de la ville d'Automne et
jouxtant la "Maison Universelle" n'existe plus comme tel. Un projet
immobilier sans débouché usqu'à ce jour, est en cours depuis plus de 15
ans.
La Ville d'Hiver 
Beau-Soleil
était une pension de famille de l'Allée des Dunes
connue
également sous le nom "Les Erables". C'est aujourd'hui une résidence en co-propriété.
L'Hôtel
Continental
et des Pins : une
maison de retraite des employés
de la Banque de France (il y a pire ...). En pleine reconversion immobilière.
La Pension de famille Les
Roseaux
était
située non loin de l'Église Notre-Dame.
L'Hôtel
Moderne
: Situé
Allée Lakmé en Ville d'Hiver,
l'Hôtel Moderne deviendra la Clinique "Les Elfes",
établissement de cure et de repos.
Ce fut un établissement
médicalisé appelé "La
Rose des Sables". Racheté par un promoteur en vue de le transformer en appartements de luxe, il est à l'abandon et squatté.
Peyronnet
? Une pension de famille en ville d'Hiver, à quelques mètres de la Place des Palmiers.
L'Hôtel
Régina
et d'Angleterre : L'un
des établissements prestigieux de la Ville
d'Hiver. On s'y livrait parfois à quelques excentricités
(regardez, vous jugerez).
L'Hôtel
Tivoli
et de Paris : Aujourd'hui
une résidence dans l'avenue
Gambetta (au N° 47).
La
Ville
d'Automne 
Villa
Asphodèle
: Boulevard
Deganne : hier Pension de
famille, aujourd'hui
services
médico-sociaux.
Villa
Beau-Séjour
: rue
Durègne, une sympathique pension de famille à
prix
modérés.
Villa
Beau-Site
:
Boulevard Deganne, une pension de famille à prix
modérés.
L'Hôtel
d'Eyrac
: L'un des
hôtels du bord de mer, dont l'entrée
était
monumentale et qui n'existe plus de
nos jours. Des résidences à habitat dense ont été construites à son ancien emplacement.
Villa
Grand
Saint-Elme : rue
Durègne, voisine et concurrente de Beau-Séjour.
L'hôtel Atlantic a
été créé en 1973 avenue de La République. Il est désormais connu sous
l'appellation "Grand Atlantic Hôtel", un 4 étoiles de la chaîne Best
Western.
Les Ormes
fut un hôtel-restaurant classique des années 60, voisin de la villa
Sangadia avec accès direct à la plage d'Eyrac, et qui a été
détruit dans les années 2000 au profit d'une résidence.
La
Ville
de Printemps 
L'Hôtel d'Aquitaine,
maison de famille
réputée se trouvait au 141 Cours Lamarque.
L'hôtel-restaurant
Etchea
jouissait d'une
situation exceptionnelle : proche de la plage, du centre-ville et de la
Ville d'Hiver.
Hazera était un des nombreux hôtels détruits du Cours Lamarque, remplacé par une résidence moderne.
Sur
la Route du
Moulleau non loin de la Basilique Notre-Dame , la
Maison
Bon-Repos
accueillait
les
touristes.
Entre
la
Jetée de la Chapelle et la Basilique Notre-Dame se trouve
l'Hôtel-Restaurant Saint-Christaud
dont la cuisine bourgeoise était renommée.
Hôtel
les Mouettes
:
à proximité de la Jetée de La Chapelle.
Sous
les Chênes : une
petite pension de famille de l'avenue Sainte-Marie
La Résidence Orion
a été construite dans les années 80. C'est une résidence de tourisme
qui a changé d'enseigne (Maeva) à plusieurs reprises et transformée
vers 2016.
Abatilles-Le
Moulleau -Pereire- Pyla Sur Mer-Pilat-Plage 
Ce fut l'hôtel Ahurentzat, c'est aujourd'hui une jolie co-propriété à Pyla-Sur-Mer, qui porte toujours ce nom, à deux pas de la plage.
Cet ex-hôtel Beau Rivage
était situé boulevard de l'Océan à quelques encablures de la
"frontière" Pyla-Moulleau. C'est aujourd'hui la grande villa d'un
particulier.
Nombreux
sont ceux qui se souviennent de l'hôtel
des Écureuils
,
avenue du Parc aux Abatilles, et de son bar le Bidaou.
l'Ermitage est une institution : restaurant, dancing, night-club. Situé Place du Figuier à Pyla-Sur-Mer.
Au 36 avenue des Abatilles, il y avait un bar épicerie de quartier Bar Bon Accueil
Sur
l'avenue du Golf, c'est la résidence Beau-Séjour
de la Banque de France que nous
découvrons.
Rue Notre-Dame-Des-Passes se trouvait la pension de famille villa Marguerite, au coeur du Moulleau. Une photographie rare de la réprésentation vers 1900 qui n'a plus rien à voir avec l'original.
Pension Le Muguet :
située aux Abatilles dans la discrète allée Robert Grignon, on en
trouve très peu de traces dans la documentation arcachonnaise.
Non
loin de
l'église Notre-Dame des Passes se trouvait la charmante
pension
de famille Notre-Dame.
Il
n'y a pas si longtemps, on trouvait
encore l'Hôtel
Les
Papillons
en arrivant
par le boulevard de la Côte d'Argent.
La
Villa Rose
Mousse,
détruite, qui fut un hôtel, se trouvait avenue des
Abatilles.
Quand
on s'installait
au Bar
du Soleil,
on profitait de la
vue sur le Bassin, tout en admirant le vieux Canon du Moulleau.
L'hôtel-restaurant les
Tamarins
était un
rendez-vous animé de la station dès que revenait
l'été au Moulleau.
La Réserve du Parc,
face à la belle plage Pereire, a été longtemps le seul établissement
dans ce quartier offrant la restauration . Cédée sous la dénomination
Cap Pereire - baisse de qualité -
elle a finalement fermé pour devenir une résidence d'été de grand standing dont l'ouverture est prévue en 2023.
Le café-restaurant, La Farandole, station-service se trouvait boulevard de la Côte d'Argent en lieu et place du Barathym actuel.
Voile
au Vent était
un hôtel-restaurant du boulevard de la Côte
d'Argent, au
coeur du Moulleau.
Incontournable
: le
Grand Hôtel du Moulleau à travers le temps
: Une histoire racontée de 1900 à 1950.
La résidence Royal-Moulleau occupe sa
place aujourd'hui ; la structure générale du
bâtiment est préservée, mais l'architecture a bien
changé.
Le
Café-Restaurant
du
Moulleau à la
descente du tram était situé
à l'angle de la Route du Moulleau et de l'Allée
Notre-Dame des Passes ; on peut toujours s'y
désaltérer,
mais l'enseigne est celle du Paris-Pyla.
L'hôtel restaurant "Les Abatilles"
était situé dans le quartier des Abatilles, allée Jean Balde.
L'hôtel-restaurant "La Guitoune"
est situé à Pyla sur mer sur la route venant d'Arcachon et menant à La Dune.
L'hôtel-restaurant Etche Ona est un des plus anciens établissements du Pyla et se trouve à 2 kilomètres environ de la Dune du Pilat.
La Garage du Pyla créé par Henri Subran vers 1930 est devenu le branché L'Olivier, puis depuis 2013, La Suite 257.
L'Hôtel Eskualduna fut
à la fois hôtel bon marché pour y loger le personnel des clients
d'Haïtza et garage pour y réparer et garer leurs véhicules. Une ruine
en 2021.
Pilat-Plage : on ne peut évoquer la Dune du Pilat sans mentionner le célèbre hôtel-restaurant de la Corniche.
L'hôtel Oyona faisait partie du complexe hôtelier créé en 1930 par Louis Gaume pour le démarrage de la station Pilat-Plage.