Inclassables
Parqueuse d'Huîtres
Le travail des huîtres par des femmes est ancien.
Vers 1900
A droite de la parqueuse (vers 1900), une jolie illustration de la plage principale
Place Thiers. En arrière plan, on reconnaît le clocheton du Château Deganne
(nommé Casino Deganne ou Casino de La Plage).
La jetée Thiers n'existait pas encore (elle fut construite en 1903).
Vers 1900 : Une parqueuse (édition BR)
Pour marcher dans la vase, les "mastouns"
sont indispensables.
Vers 1900 : parqueuse d'huîtres (édition LL)
Vers 1935 : jeune parqueuse (édition Marcel Delboy)
Vers 1930 : Groupe de parqueuses.
(édition Marcel Delboy, collection privée).
Ces très jeunes femmes ont même adopté
la coiffure "à la garçonne" de l'entre-deux guerres.
Vers 1950 : parqueuses
Elles portent des "mastouns", patins en bois
permettant de marcher dans la vase.
Vers 1910 : parc aux huîtres (éditeur LL)
Des "parqueuses", mot français essentiellement utilisé sur le Bassin d'Arcachon.
Elles sont vêtues de "bénèzes" et de "culottes' coquelicot.
Les huîtres sont ramassées dans ces paniers en osier.
Vers 1960 (éditeur Gaby)
Les "bénèzes" sont parfois appelées "quichenottes"
Vers 1960 : parqueuses (éditeur Gaby).
En ostréiculture, c'est le terme qu'on utilise pour désigner une personne qui a pour
métier de s'occuper des huîtres d'un parc d'élevage et d'entretenir le parc.
Ce métier est très contraignant, car on y travaille avec des conditions
météorologiques parfois très difficiles : pluie, orages, canicule.
RETOUR